Les parents d'un grand prématuré qui avaient demandé l'arrêt des soins, dénonçant un acharnement thérapeutique, se sont mis d'accord avec le CHU de Poitiers sur un accompagnement de fin de vie.
Les modalités d'accompagnement de fin de vie du bébé grand prématuré du CHU de Poitiers, dont les parents ont réclamé l'arrêt des soins, "ont été définies en associant la famille", a annoncé
ce jeudi l'hôpital.
L'enfant, né près de quatre mois avant le terme, ne pesait que 900 grammes à sa naissance et avait subi une hémorragie cérébrale. Devant les risques de graves séquelles, les parents avaient dit ne pas souhaiter "une vie de handicap" pour leur enfant et avaient demandé aux médecins d'arrêter les soins.
Mais l'équipe spécialisée du CHU de Poitiers s'y est opposé et a réclamé un avis collégial. L'avis d'un groupe éthique avait donc été sollicité, notamment auprès de l'hôpital Antoine-Beclère de Clamart.
ce jeudi l'hôpital.
L'enfant, né près de quatre mois avant le terme, ne pesait que 900 grammes à sa naissance et avait subi une hémorragie cérébrale. Devant les risques de graves séquelles, les parents avaient dit ne pas souhaiter "une vie de handicap" pour leur enfant et avaient demandé aux médecins d'arrêter les soins.
Mais l'équipe spécialisée du CHU de Poitiers s'y est opposé et a réclamé un avis collégial. L'avis d'un groupe éthique avait donc été sollicité, notamment auprès de l'hôpital Antoine-Beclère de Clamart.
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